samedi, juin 30, 2007

Veille et tendances

J'utilise 2 outils différents pour gérer mes flux rss.

Google Reader, d'une part, pour les blogs que je veux 'lire', ceux d'amis ou de blogueurs que j'apprécie, et pour les fils rss de quelques publications que je me dois de lire pour me tenir au courant, en gros, pour ma veille.

J'aime Google Reader pour sa facilité d'utilisation, j'apprécie de pouvoir à présent le consulter offline, et il est idéal pour la lecture des articles dans leur totalité.

Et j'utilise Netvibes pour sentir la tendance. Sur 2 ou 3 onglets thématiques, j'ai classé les blogs et les flux de sites d'infos pour pouvoir, d'un coup d'oeil, repérer les sujets dont mes confrères blogueurs parlent le plus, et à force, le positionnement de chaque flux dans la page est devenu si précis que j'ai comme une image mentale des sujets abordés et relayés, par qui, à quel moment et sous quel angle.

Je peux alors choisir de lire ou pas les articles qui me semblent les plus intéressants.

Sauf que si j'ai toujours le temps de lire tout ça (je m'y astreint une à deux fois par semaine), la restitution sur ce blog m'est difficile, en ce moment...

Demain, promis, mes suggestions de la semaine :)

vendredi, juin 29, 2007

lundi, juin 25, 2007

Principes de la comm' online, suite et resuite

Pour moi, la comm'online commence là où s'arrête le référencement... Référencement naturel, s'entend, parce que le référencement en liens sponsorisés, connu également sous le nom de search marketing ou S.E.M. (Search Engine Marketing), est un des fondements de mon métier.



Comment ça marche ? Les S.E.M. est basé sur l'achat de mots-clés pour apparaître en haut et à droite des résultats, dans les moteurs de recherche. Basé sur un modèle économique au CPC (on ne rémunère donc que la visite), le prix d'un clic, calculé aux enchères, est basé sur plusieurs critères dont le nombre d'annonceurs achetant le mot (ou l'expression) et le volume de recherche.



Le but du jeu est donc de réaliser une liste de mots-clés la plus complète possible (avec et sans accent, au pluriel et au singulier,...) et de préférence, à base d'expressions en plusieurs mots, les mots clés génériques étant généralement plus chers que les expressions en plusieurs mots (par ex. "hotel" Vs "hotel pas cher à Nice").



En outre, les expressions en plusieurs mots permettent de générer un trafic plus qualifié, basé sur des requêtes plus ciblées et donc, d'optimiser le taux de transformation.



En terme de suivi, de tracking et d'optimisation, une agence désireuse d'apporter à ses clients un réel savoir-faire (après tout, n'importe qui doté d'une carte bancaire peut s'amuser à acheter des mots-clés) investit généralement dans un outil de bid-management, qui permet de gérer les enchères suivant une stratégie prédéfinie, d'optimiser les listes de mots-clés, de les catégoriser et de connaître (toujours à des fins d'optimisation) les mots-clés au meilleur potentiel de transformation, le niveau de ROI par catégorie, voire par mot-clé.



Certains purites diront que le référencement naturel (S.E.O. : Search Engine Optimisation) reste prioritaire et nécessaire, d'autres ne jurent que par le search marketing. Pour moi, l'approche est radicalement différente et à la pérennité de l'un s'oppose la flexibilité de l'autre...



Comme dans bien des domaines, il s'agit alors d'évaluer au mieux les besoins du clients et ses objectifs, explicites ou tacites, et de combiner les différents canaux d'acquisition et de notoriété afin d'être le plus efficace possible.







dimanche, juin 24, 2007

mercredi, juin 20, 2007

Réflexion e-philosophique

J'ai été interpelée aujourd'hui par un dirigeant d'entreprise qui voulait comprendre pourquoi, alors qu'il embauche à des postes de directeur des diplômés trentenaires pourtant "dans le coup", ceux ci ne semble manifester aucun intérêt pour le net... ou du moins, aucun intérêt professionnel.

Vaste question. Mon boulot consiste, au fond, à mettre des gens dans des cases. Je sais que 65% des internautes féminins CSP+ fréquentent tel ou tel site, une à trois fois par mois. Je sais que l'audience d'un site de la presse économique est majoritairement masculine et que les femmes qui le visite sont plus agées et à des postes plus élevés que celles qui fréquentent tel site féminin. Je sais que le meilleur moyen de toucher des 16-25 ans est de s'assurer une présence sur tel messenger et qu'il y a tant de millions de blogueurs sur telle plateforme.

Mais je n'arrive pas à avoir une vision précise de l'utilisation d'internet par mes semblables.

Il y a un nombre croissant d'internautes et plus de la moitié de la population française utilise le net à fins pros et/ ou personnelles. Mais de là à classer ma belle-mère, qui se contente de lire ses rares mails et de regarder les albums dont nous lui envoyons l'adresse, dans la grande famille des internautes...

Les "directeurs" de mon interlocuteurs, pourtant agés de 30-35 ans et issus de grandes écoles de commerce (au sein desquelles la formation au e-marketing commence à prendre une vraie place) sont ils sensibilisés à l'utilisation de ce média, ou faut il être passionné pour en comprendre les enjeux, en matière de notoriété, de recrutement, de relation clientèle ?

Parce que ces enjeux sont réels... Je le sais, par les nombreuses études dont je me nourris mais aussi, et surtout, quand je constate les montants investis par les grands annonceurs, tous secteurs confondus, qui investissent depuis des années et sont ravis de le faire, au vu du retour sur investissement dégagé.

Je n'ai pas su répondre, mais je compte bien pallier à cette défaillance... A suivre, donc, le résultat de mes recherches que j'espère fructueuses.


mardi, juin 19, 2007

Canderel surfe sur la vague Desperate Housewives

Petit buzz autour de Canderel, dont vous verriez la bannière, là, à droite, si un bug mystérieux n'en empêchait pas l'affichage.



Pour résumer, j'aime l'univers graphique très DH, le site est rigolo et les lots alléchants. Le jeu est un peu 'modeste'... rapide, certes, mais on s'attendrait à un jeu un peu plus abouti et pour ma part, je reste sur ma faim à ce niveau là.



Si vous souhaitez participer, c'est par là... Après tout, 100% des gagnants ont tenté leur chance :)



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dimanche, juin 17, 2007

Sans parole


Rainy sunday, originally uploaded by Babygiu.

samedi, juin 16, 2007

Principes de base de la comm' online, suite

Après les modèles économiques de l'e-pub, il est intéressant d'étudier le fonctionnement des différents outils d'analyse, de suivi, de tracking et d'optimisation propres au média internet.



Parce que mettre une campagne en ligne, si bien ciblée soit elle, ne sert à rien si l'on ne s'intéresse pas aux résultats qu'elle génère. C'est tout l'avantage et la spécifité du média que de pouvoir agir, quasiment en temps réel, sur une campagne, contrairement aux campagnes papier, télé ou radio, dont on mesure les résultats, certes, mais sans vraiment pouvoir intervenir en cas de mauvais résultats.



C'est là qu'intervient le sacro-saint "adserver". Pour faire simple, il s'agit d'un outil loué auprès d'un spécialiste, qui permet :

  • de scénariser les campagnes, en choisissant l'ordre dans lequel s'affichent les différents visuel, le nombre de fois qu'un visiteur unique verra la créa (aka "capping"), et dans le cadre d'une campagne sur plusieurs supports, quels visuels s'afficheront sur tel et tel site, à tel ou tel emplacement.
  • de déterminer avec précision le nombre d'affichage consommé à un instant précis, le nombre de clic obtenu et, éventuellement, le nombre de transformation réalisé par chaque visuel, chaque site, chaque emplacement.
Grâce à ces analyses il est possible, en cours de campagne, de surpondérer les affichages sur les emplacements qui transforment le mieux, de remplacer un visuel qui présente un faible taux de clics (CTR = Clic Through Rate) voire de stopper, avec l'accord d'une régie, une campagne peu efficace pour basculer le budget sur un autre support.



Bien sûr, ces outils ont un coût, généralement basé sur le nombre d'affichage ou de clics achetés auprès de la régie. Par exemple, pour une campagne de 1.000.000 d'affichages négociés à 8 euros le CPM (soit un budget de 8000 euros), un coût supplémentaire de 0,50 euros par CPM (soit un surcoût de 500 euros sur la campagne).



Toutes les campagnes ne nécessitent pas la mise en place d'un suivi de ce niveau.



Une campagne très ponctuelle, destinée à accroître la notoriété d'une marque sans autre indicateur qu'un nombre de visites, par exemple, peut très bien se passer de cet outil, les régies fournissant des rapports de campagne détaillés en fin de campagne.



A contrario, dès qu'un annonceur souhaite mesurer le taux de transformation d'une campagne, dès qu'il est sensible au retour sur investissement, il s'avère indispensable.



Et pas uniquement dans l'intérêt de l'annonceur, mais également pour les agences qui gèrent ses campagnes, parce que c'est en forgeant qu'on devient forgeron, et que nos expertisent se nourrissent d'expériences... réussies ou pas :)



Dans le prochain épisode, l'explication des outils de tracking et d'optimisation dans le cadre des campagnes de liens sponsoriés...























mercredi, juin 13, 2007

Principes de base de la publicité en ligne

A la demande d'une blogueuse amie pourtant loin d'être étrangère au monde du net, j'ai décidé d'éclaircir quelques termes et autres principes qui régissent la publicité en ligne.



Commençons par ces acronymes barbares, CPM, CPC, CPA et CPL, qui sont les modèles économique de l'e-pub.



Le CPM, ou coût pour mille, est le modèle de prédilection des campagnes diffusées sur les grands carrefours d'audience, tels les sites d'opérateurs, les grands sites éditoriaux, les sites de presse ou de chaînes de télé, bref, tout ce qui fait de l'audience et permet de générer tout à la fois notoriété et couverture.



L'annonceur rémunère les campagnes à l'affichage, les tarifs s'entendant pour 1000 affichages. L'agence préconise donc X PAP (pages avec publicité = nombre d'affichages) à X euros le mille pendant X jours, la quantité de PAP dépendant de la part de voix souhaitée (la part de voix étant le pourcentage de visiteurs touchés par la campagne, une PDV à 50%, par exemple, implique qu'un visuel sur deux sera celui de l'annonceur, à 10%, un visuel sur dix).



Le modèle au CPM implique une diffusion précise et maîtrisée, puisqu'on détermine avec précision la durée de la campagne, le choix des supports, les emplacements et formats et le volume d'affichage.



Le CPC, ou coût au clic, est le modèle appliqué par les moteurs de recherche pour les campagnes de liens sponsorisés. On le trouve également dans le domaine de l'achat d'espace (e-pub) sur des réseaux de sites et certaines plateforme d'affiliation.



L'annonceur s'engage dont sur un volume de clics que le support doit réaliser à partir d'une date fixée, sur un ou plusieurs supports. Ce sont généralement des supports moins prestigieux, voire des réseaux de site tournant autour d'une thématique.



Si l'annonceur a ainsi la certitude d'obtenir le nombre de visites souhaité, il ne peut cependant pas contrôler la diffusion de ses visuels, ceux-ci étant diffusés au bon vouloir des supports (généralement en masse afin d'obtenir les clics le plus rapidement possible).



Le CPA (coût par action) et CPL (cost per lead) sont les modèles de prédilection des plateformes d'affiliation. L'annonceur rémunère, via la plateforme, des sites à l'audience moyenne qui acceptent de diffuser des campagnes contre rémunération "à la performance".



Ainsi, on mesure la réalisation d'une action, qui peut être l'inscription à une newsletter, l'envoi d'une demande de brochure, une vente ou la souscription d'un abonnement, et chaque action réalisée grâce à un visuel placé sur un site "affilié" déclenche le paiement d'une somme forfaitaire déterminée au préalable par l'annonceur à la plateforme, qui reverse ensuite la somme à l'affilié ayant permis l'obtention du 'lead'.



Ce sont des campagnes sans risque, puisque l'annonceur ne rémunère que les actions réellement effectuées, mais leur utilisation n'est pas forcément possible par tout type d'annonceur, et ces sites n'étant pas des sites prestigieux ou connus, l'image de la marque ne s'en voit pas renforcée. En outre, le volume de diffusion reste particulièrement maigre face aux audiences énormes des sites fonctionnant au CPM.



Globalement, une bonne campagne d'e-pub n'est pas l'utilisation d'un canal unique mais la combinaison des canaux les plus pertinents afin d'atteindre les objectifs de l'annonceur, qui peuvent être des objectifs de visibilité, de notoriété, de retour sur investissement, de collecte d'un fichier qualifié,...



Et là, c'est au consultant de faire preuve de finesse et de pertinence dans ses choix... parce qu'autant dire que lorsque une campagne ne connait pas le succès escompté, c'est l'agence qui trinque :)





mardi, juin 12, 2007

J'aurais voulu...

J'aurais voulu bloguer sur Flickr qui lance enfin sa version française... ou sur le Salon International de la Publicité qui aura lieu dans quelques jours à Cannes... ou sur la difficulté à mettre en place une campagne d'affiliation à l'international et pourquoi, dans ce cas, le CPA n'est pas forcément le modèle économique le moins risqué.



Sauf que j'ai passé la journée à jouer la boule de flipper entre le 1015 et le 3244 (je ne cite personne, hein) à cause d'une coupure intervenue 4 jours avant la date prévue du déménagement de ma boite...



Et quand, au final, nous eûmes compris, à 17h qu'il ne nous serait pas possible de faire réparer cette grossière erreur par nos interlocuteurs obtus et incompétents, il nous a fallu tirer un cable, en pleine rue, entre l'appartement de nos charmants voisins et nos bureaux, j'ai oublié un instant mes velléités blogosphériennes.



Mais promis, promis, bientôt, tout reviendra à la normale et je posterai du vrai contenu avec des vrais infos et du vrai marketing dedans. PROMIS !





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samedi, juin 09, 2007

Sans parole


Tonight delight, originally uploaded by Babygiu.

;) Promis, dès que j'ai digéré, je ponds un billet digne d'intérêt...

vendredi, juin 08, 2007

Les canadiens sont formidables


I get it !, originally uploaded by Babygiu.

Après avoir découvert cet objet dans Chasseurs d'Images, et suite à une recherche infructueuse de mon homme aux US, j'ai fini par me résoudre à l'acheter en ligne.

Sans être réfractaire au paiement en ligne, j'hésite toujours à commander un produit sur un site outre-atlantique, les délais de livraison étant particulièrement vagues à destination de notre vieille Europe (sans parler des frais de livraison).

Et là, divine surprise, commandé mardi, livré vendredi... Et à moins de 30 euros tout compris !

Je sens qu'il va devenir le meilleur ami de mon Eos :)


La boutique, c'est par là.

jeudi, juin 07, 2007

Je prends mon pied...


His & hers, originally uploaded by Babygiu.

... gauche.

Taggé par Philéas, me voilà contrainte à afficher mon indécente podomanie...

C'est maaaalin :)

mercredi, juin 06, 2007

Suggestions du 6 juin 2007

Suggestions photos, ce soir.

  • Tout d'abord, l'excellent blog de Thomas Gogny qui poste une photo par jour, inexorablement, parfois sombre, parfois triste, mais témoignage d'une réalité qui lui est propre.
  • A Nice, du 15 juin au 15 juillet prochain, se déroulera le 1er Festival International de l'Image et de la Photographie Numérique. Gageons que j'irai y faire un tour pour découvrir quelques artistes voisins.
  • Enfin, j'ai commandé hier un "Pod", plus précisément un Green Pod, qui devrait pouvoir se substituer avantageusement à mon trépied dans les occasions où j'hésite à l'emporter.






L'image du jour

Trouvée au hasard de ma veille, et elle contient l'essentiel des concepts de mon métier...

J'adore :)




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dimanche, juin 03, 2007

Sans parole


"Face à la mer"..., originally uploaded by Babygiu.

vendredi, juin 01, 2007

Suggestions semaine 23

Je suis dans le jus le plus total, mes suggestions se limiteront donc à quelques lignes...















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Bleekin, marketing web