Je me suis abonnée à Picnik. 24 dollars pour une année d'utilisation, un peu moins de 20 euros grâce au taux de change, pour utiliser et soutenir un site qui est pour moi l'exemple parfait de ce qui fait techniquement le web 2.0.
Pourquoi ?
Parce que Picnik est une application distante qui permet de travailler sur un fichier tout aussi distant sans utiliser les ressources de la machine utilisée.
Celà existe déjà, avec les différents logiciels de bureautique rachetés par Google, par exemple, mais dans le cadre de Picnik, je trouve le concept bien plus intéressant, voire carrément révolutionnaire tant les fonctionnalités sont poussées.
En clair, une photo en ligne peut être récupérée, modifiée et republiée, ou envoyée par mail, ou sauvegardée dans un album distant, sans avoir à installer de logiciel ni besoin de télécharger la photo en local. Et les modifications vont de la balance des blancs à la retouche des défauts de peau, du recadrage à l'insertion de texte ou de formes, de l'ajout d'un effet à l'encadrement...
Pour ceux qui arrivent sur le net sans en comprendre la technique, rien de bien sorcier... mais pour moi, c'est une merveille de technologie et d'ingéniosité, qui mérite largement mon support financier.
Maintenant, sans sortir de la légalité, je peux bidouiller mes photos et les publier, depuis n'importe quel ordinateur, qu'il soit Mac ou PC, chez moi ou ailleurs, sans laisser de traces.
Et avec mes 24 dollars, je participe humblement à la réussite de ce qui me semble être passé quasi inapercu en France...
Pourquoi ?
Parce que Picnik est une application distante qui permet de travailler sur un fichier tout aussi distant sans utiliser les ressources de la machine utilisée.
Celà existe déjà, avec les différents logiciels de bureautique rachetés par Google, par exemple, mais dans le cadre de Picnik, je trouve le concept bien plus intéressant, voire carrément révolutionnaire tant les fonctionnalités sont poussées.
En clair, une photo en ligne peut être récupérée, modifiée et republiée, ou envoyée par mail, ou sauvegardée dans un album distant, sans avoir à installer de logiciel ni besoin de télécharger la photo en local. Et les modifications vont de la balance des blancs à la retouche des défauts de peau, du recadrage à l'insertion de texte ou de formes, de l'ajout d'un effet à l'encadrement...
Pour ceux qui arrivent sur le net sans en comprendre la technique, rien de bien sorcier... mais pour moi, c'est une merveille de technologie et d'ingéniosité, qui mérite largement mon support financier.
Maintenant, sans sortir de la légalité, je peux bidouiller mes photos et les publier, depuis n'importe quel ordinateur, qu'il soit Mac ou PC, chez moi ou ailleurs, sans laisser de traces.
Et avec mes 24 dollars, je participe humblement à la réussite de ce qui me semble être passé quasi inapercu en France...