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jeudi, octobre 09, 2008

Alain Souchon surfe sur la vague 'récession'

Alain Souchon n'est pas un novice, sur le web. Après son premier site, brillamment designé par son fils, le voilà qui se lance dans le buzz marketing.

Une chanson inédite, intitulé "Parachute Doré", qui traite de la crise et de ses conséquences avec l'indolence toute souchonnienne, est disponible en téléchargement gratuit, avant la sortie de l'album le 1er décembre.

Seule condition, s'inscrire à la newsletter de l'artiste. Et apparemment, pas de vice caché, puisque figure bien la mention CNIL obligatoire et l'engagement à ne pas utiliser l'adresse email à d'autres fins que l'envoi de la newsletter.

Pour en savoir plus, c'est par là : http://www.alainsouchon.net/

lundi, avril 28, 2008

Granola buzze

Le site, réalisé par Duke, est une petite merveille de technologie et de design.

Vidéos, style décalé, module de viralité, implication des internautes, et même pub sur Facebook et campagne de liens sponsorisés pour capter l'internaute, tout y est.

Sur la forme et sur le fond, c'est une réussite. Même si je continue de penser que le formatage du buzz, originellement naturel, et l'utilisation de leviers toujours identiques finit par ôter tout son intérêt à ces dispositifs.

Pour juger par vous-mêmes : http://www.granola.fr


vendredi, février 01, 2008

D'une exigence professionnelle insatisfaite

Je me suis rendue, mardi et mercredi, au 2ème Forum E-marketing, à Paris. J'ai pris l'avion, j'ai dormi à l'hôtel, j'ai galéré dans les transports, pour me rendre sur ce qui est l'un des rendez-vous importants des "professionnels de la professions".

J'ai fait rapidement le tour des stands, saluant ci et là quelques connaissances, amis, partenaires, m'intéressant à quelques rares nouveaux concepts. Et puis j'ai pris place dans une des salles pour écouter une conférence. Pas tout à fait satisfaite ni du sujet ni de l'orateur, j'ai quitté la salle pour me rendre à une deuxième conférence, que j'ai trouvé toute aussi superficielle.

Au final, en 3 demies-journées passées au Palais des Congrès, je n'ai pas appris grand-chose et je suis déçue du niveau des conférences. Non pas que les orateurs ne maitrisent pas leur sujet, mais sur un salon prétenduement professionnel, je me serais attendue à des explications plus poussées, plus techniques, or j'ai l'impression que sur le fameux concept "benefits/features" qui est censé régner en maître dans les présentations de produits ou techniques, les orateurs n'ont pensé qu'à la partie "avantages produit".

"Le ciblage comportemental, c'est bien". Jusque là, je suis d'accord...

"Le ciblage comportemental permet d'adresser aux internautes le message qui leur correspond et augmente ainsi le taux de clic de façon non-négligeable". Ok, ça, j'avais compris...

Et comment tu fais, Monsieur, pour mettre en place tes campagnes ciblées ? Tu utilises quels outils ?

Par souci de "vendre" leur produit ou leur savoir-faire, les orateurs présents ont oublié qu'il ne s'agissait pas de convaincre l'auditoire de leur expertise mais de permettre aux participants de mieux appréhender les différents leviers du marketing online, de la réflexion stratégique à la mise en oeuvre opérationnelle.

Et si je peux comprendre qu'on aille pas jusqu'à expliciter les techniques employées dans le détail par souci de simplicité (et par peur de se faire faucher une expertise), j'aurais apprécié un discours plus professionnel, parce que certes, un rappel sur les différents modèles économiques de la publicité online n'était pas inutile mais de là à s'en contenter...

Bref, je continuerai à suivre ces évènements parce qu'ils sont un lien important avec les différents prestataires susceptibles de contribuer à la réussite des campagnes de mes clients mais je reste convaincue, plus que jamais, qu'une veille permanente et l'expérimentation sont nécessaires à l'appréhension des nouveautés qui fleurissent dans mon domaine d'activité.

Ca tombe bien, j'adoooore mettre les mains dans le cambouis :)







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mardi, octobre 30, 2007

D'un abonnement de plus

Je me suis abonnée à Picnik. 24 dollars pour une année d'utilisation, un peu moins de 20 euros grâce au taux de change, pour utiliser et soutenir un site qui est pour moi l'exemple parfait de ce qui fait techniquement le web 2.0.

Pourquoi ?

Parce que Picnik est une application distante qui permet de travailler sur un fichier tout aussi distant sans utiliser les ressources de la machine utilisée.

Celà existe déjà, avec les différents logiciels de bureautique rachetés par Google, par exemple, mais dans le cadre de Picnik, je trouve le concept bien plus intéressant, voire carrément révolutionnaire tant les fonctionnalités sont poussées.

En clair, une photo en ligne peut être récupérée, modifiée et republiée, ou envoyée par mail, ou sauvegardée dans un album distant, sans avoir à installer de logiciel ni besoin de télécharger la photo en local. Et les modifications vont de la balance des blancs à la retouche des défauts de peau, du recadrage à l'insertion de texte ou de formes, de l'ajout d'un effet à l'encadrement...

Pour ceux qui arrivent sur le net sans en comprendre la technique, rien de bien sorcier... mais pour moi, c'est une merveille de technologie et d'ingéniosité, qui mérite largement mon support financier.

Maintenant, sans sortir de la légalité, je peux bidouiller mes photos et les publier, depuis n'importe quel ordinateur, qu'il soit Mac ou PC, chez moi ou ailleurs, sans laisser de traces.

Et avec mes 24 dollars, je participe humblement à la réussite de ce qui me semble être passé quasi inapercu en France...



lundi, septembre 03, 2007

De la difficulté de garantir

Pour les agences de communication online, l'optimisation quasiment en temps réel des campagnes de liens sponsorisés est un argument de taille.

Contrairement au papier, une campagne en ligne permet de suivre en direct les retombées de la campagne et, à court terme, de l'optimiser, via des outils de tracking et d'optimisation (et les compétences d'un traffic manager qualifié sans lequel ces outils ne sont rien de plus que des outils statistiques).

Grâce à ces outils, il est possible, notamment, de connaître les retombées financières d'une campagne. Les connaître, les anticiper et les reproduire, à terme.

Du coup, les annonceurs deviennent exigeants et certains, parfois, ont du mal à comprendre que même en ayant déjà travaillé sur un produit similaire, il est difficile de garantir un résultat avant le commencement d'une campagne de liens sponsorisés.

En effet, outre le fait que les outils de tracking ont besoin d'emmagaziner des données statistiques avant de reproduire un schéma stratégique qui permet de garantir un retour sur investissement, de nombreux autres critères entrent en compte, notamment la qualité du site, sa facilité de navigation, son ergonomie et la notoriété de la marque.

Difficile ainsi de garantir, avant le début d'une campagne, son résultat en fonction d'un investissement. Une estimation est bien entendu possible, en terme de coût et de nombre de visite, mais difficile ensuite d'en déduire un résultat en terme de transformation.

J'utilise souvent la comparaison avec une boutique dans une rue commerçante. Faire venir les gens jusqu'à la porte est aisé. Les faire entrer peut l'être aussi, si on a un sens certain de la déco et un bel étalage... Mais si la vendeuse fait la tête et si les produits ne sont pas en stock, le chiffre d'affaires en pâtira.

Dans le cas précis des liens sponsorisés, des listes de mots-clés correctement pensées et organisées et des textes d'annonces très pertinents, s'ils peuvent influencer le taux de clic, ne pourront rien pour les ventes si le site n'inspire pas confiance, si les produits ne sont pas stock, si la marque est totalement inconnue, ou si les délais de livraison sont rédhibitoires...

Difficile dans ces conditions de faire entendre à des annonceurs qui pensent avoir compris les rouages du web qu'il est nécessaire d'investir pendant quelques semaines sans savoir précisément quelles seront pour eux les retombées financières de leur campagne.

Et si certaines agences affirment pouvoir le faire, j'apprécierais grandement qu'elles m'expliquent comment (après tout, je ne suis pas omnisciente, loin de là !).





jeudi, août 02, 2007

De l'évangélisation à la compréhension

J'ai la chance de travailler pour une petite agence. Chance, oui, parce que les grandes agences travaillent avec les grands comptes, et si c'est plus tape à l'oeil prestigieux (moi aussi, j'aime bien pouvoir citer certains de mes grands comptes passés), c'est nettement moins intéressant.

Certes, les problématiques sont plus complexes, la réflexion est poussée plus loin, les mécaniques sont plus abouties (et encore, il m'a été donné de voir des dossiers de réponse à des appels d'offres franchement scolaires)... mais on s'adresse avant tout à des directeurs marketing, des directeurs communication, des gens en mesure de comprendre internet en tant que média, habitués aux méthodes et techniques marketing 'traditionnelles', parfois même aguerris aux techniques online.

La discussion porte alors essentiellement sur le pourcentage des honoraires d'achat (le nerf de la guerre), la puissance de négociation auprès des régies et quelques spécificités techniques (qui, a bien y regarder, diffèrent bien peu entre agences), les annonceurs étant déjà bien au fait de leurs possibilités et disposant d'une réelle stratégie de communication 'globale' qu'ils se contente de décliner au format 'net'.

Mon profil de consultante a donc toute sa place au sein de ma 'petite' agence. Petite aux yeux des parisiens centralistes, nettement plus grosse en comparaison avec les autres agences de la région, j'ai la chance de cotoyer de nombreux corps de métier, des TPE aux PME, parfois quelques grands comptes régionaux...

Et cette proximité avec le tissu économique local me pousse à remettre en question, en permanence, mes certitudes marketing, parce qu'au lieu de les débiter à la file, comme des évidences, je dois les expliquer, les argumenter, pour permettre à mes clients, dont seule une infime partie occupe un poste de 'marketeux', d'appréhender tout à la fois le média, les notions de base du marketing online, le vocabulaire spécifique à la communication, etc, etc, etc...

Pour moi, c'est l'essence même de mon métier de conseil. Conseil en communication 'globale'... Apliquée au net, certes, parce que nous ne déclinons que peu de campagnes offline, préférant les laisser à nos partenaires spécialisés... mais conseil en communication tout même, avec tout ce que cela comporte de notions de travail de l'image, d'implications stratégiques et de mise en oeuvre opérationnelle.

Sur ce, j'y vais, parce que justement... j'ai du boulot :)



mardi, juillet 24, 2007

Des investissement à la rentabilité online

Pour beaucoup d'entrepreneurs traditionnels, le web reste un eldorado dans lequel il est possible, avec peu de moyen, d'arriver à concurrencer d'autres acteurs avec lesquels ils n'auraient jamais pu se confronter dans l'économie traditionnelle.

S'ils n'ont pas tort sur le fait de la possibilité de se retrouver en frontal avec de grandes marques, ils n'ont pas la moindre idée des trésors d'imagination qu'il faudra déployer, de l'énergie qu'il faudra investir et des montants qu'ils devront allouer sur le média pour espérer survivre, voire fructifier (sans même imaginer concurrencer les acteurs bien en place, à moins d'avoir un budget équivalent).

En effet, lors de l'ouverture d'une boutique au coin de la rue, on évalue la clientèle du quartier, les autres magasins qui fournissent des produits ou services équivalents dans un périmètre défini et pour peu qu'on ait un produit intéressant à un prix raisonnable, les chalands peuvent devenir des clients. Si la vendeuse est souriante et que le produit est disponible en rayon, on peut même imaginer les voir revenir sans avoir besoin de leur adresser un courrier.

Sur le web, si la même petite boutique peut techniquement vendre son produit à l'autre bout du monde, elle subit la pression concurrentielle de l'ensemble des acteurs de son marché présents en ligne. Les petits comme elle, mais surtout les grands, avec des gros budgets, des agences de comm' spécialisées et des consultants aux dents longues rompus aux techniques de communication multicanaux.

Et se retrouver sans budget comm' conséquent quand on décide de lancer une petite gamme de vêtements pour enfants, c'est oublier La Redoute et ses investissements non négligeables... Une chambre d'hôte, alors ? Oups, j'oubliais, ce sont les voyagistes, tours opérateurs et autres chaînes hotelières prestigieuses que l'on vient taquiner sur leur marché. Un produit de beauté ? Loupé, Sephora et consorts n'ont pas laissé passer le train de la vente en ligne.

Pour ceux qui sont prêts à investir dans ce canal très particulier de distribution, nombreux sont les écueils à éviter. Une logistique sans faille, un service après-vente irréprochable, une vraie stratégie de fidélisation, sans oublier un site qui réponde aux attentes des internautes, en terme d'ergonomie, de fonctionnalités, de design... et une vraie stratégie de communication.

Une VRAIE. Pas le lancement d'un blog maintenu par... par qui déjà ? Ni des bandeaux home-made diffusés sur des réseaux de site pas très glorieux (mais pas cher, certes).

Une vraie stratégie qui permettra à chaque action marketing de préparer la suivante, d'en récolter les fruits et les enseignements. Un plan de communication qui prenne en compte les différents canaux de communication, la saisonnalité, les investissements des concurrents et leur activité, les besoins spécifiques de chaque phase du développement en terme de notoriété, d'image, de génération de trafic, de retour sur investissement.

Parce que si l'à peu près peut fonctionner dans le cadre d'un commerce de quartier, il est bien plus difficile de se faire une place en ligne sans une vision claire et précise de son marché, de ses possibilités d'évolution, de ses faiblesses et des finesses du média.

A ceux de mes clients que j'arrive à convaincre de cette nécessité, je peux apporter la vision qui leur manque, en terme de connaissance du média, de vision stratégique, de mise en oeuvre opérationnelle.

Et il n'y a rien de plus gratifiant que de prendre un projet dans sa phase de lancement, d'accompagner un annonceur dans son évolution, sa maturation sur le média, jusqu'à voir retomber les fruits de son travail.

Ah, si, il y a plus gratifiant... Quand le client vous en reconnaît le bénéfice :)




samedi, juillet 07, 2007

A-priori et réalité

Il y a des cibles plus difficiles à toucher que d'autres, lorsqu'on est publicitaire 'on line'.

Pour les ados et jeunes adultes, pas trop compliqués, ils pratiquent le surf "récréatif" et une fois que l'on a trouvé les différents supports qu'ils fréquentent, il suffit de mettre en ligne des bandeaux soit décalés, soit explicites, qui les incitent à poursuivre leur surf ailleurs en cliquant.

Toucher les actifs mûrs (40-50 ans) est déjà moins simple. Certes, leurs sites de prédilection sont identifiables, de façon plus ou moins évidente selon leurs centres d'intérêt, mais leur présence en ligne est moins longue, et généralement plus "utile", ils viennent chercher une information et une fois trouvée, passent à autre chose.

Le Directeur Général d'une banque, par exemple, s'il lit Le Monde, fréquent le site de La Tribune et jette un oeil régulièrement sur Boursorama, n'est pas forcément, à cet instant précis, disposé à cliquer sur une bannière qui lui vante les mérites d'un hôtel aux Maldives, même si pourtant, il est précisément dans la cible.

La publicité en ligne devient alors un simple vecteur de notoriété, et les visuels doivent être impactants et explicites, pour qu'au moment où cet homme sera en recherche d'une destination de vacances, il ait été exposé à la marque et la reconnaisse.

Et il n'y a rien de plus aléatoire que la mesure de ces facteurs d'exposition et de reconnaissance, bien connus des publicitaires traditionnels mais dénigrés par les spécialistes du web, qui ne jurent que par les sacro-saints retour sur investissement, mesure en temps réel et autres optimisations de campagnes.

Heureusement, il nous reste les emailings :D




lundi, juillet 02, 2007

Tendances de la semaine

L'iPhone est sur toutes les bouches tous les blogs depuis son lancement aux Etats-Unis... Et si je le trouve très esthétique, comme beaucoup de produits Apple, je reste sceptique quant à son utilité, tout comme Ouriel, qui a écrit un article très complet sur le sujet.

L'audience d'Ipernity grossit à vue d'oeil... A l'occasion d'un dîner avec les deux fondateurs, ouvriers laborieux de la plateforme, j'ai eu la confirmation que les problèmes de censure rencontrés par des utilisateurs allemands de Flickr a généré un surcroît d'inscriptions sur Ipernity.

Enfin, je craque complètement sur la campagne Magic-maman/Vertbaudet, qui viennent au secours des jeunes parents opprimés. Pour le coup, je suis totalement dans la cible et vraiment sensible au message, qui a le mérite d'être bien conçu et bien réalisé. Chapeau !







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lundi, juin 25, 2007

Principes de la comm' online, suite et resuite

Pour moi, la comm'online commence là où s'arrête le référencement... Référencement naturel, s'entend, parce que le référencement en liens sponsorisés, connu également sous le nom de search marketing ou S.E.M. (Search Engine Marketing), est un des fondements de mon métier.



Comment ça marche ? Les S.E.M. est basé sur l'achat de mots-clés pour apparaître en haut et à droite des résultats, dans les moteurs de recherche. Basé sur un modèle économique au CPC (on ne rémunère donc que la visite), le prix d'un clic, calculé aux enchères, est basé sur plusieurs critères dont le nombre d'annonceurs achetant le mot (ou l'expression) et le volume de recherche.



Le but du jeu est donc de réaliser une liste de mots-clés la plus complète possible (avec et sans accent, au pluriel et au singulier,...) et de préférence, à base d'expressions en plusieurs mots, les mots clés génériques étant généralement plus chers que les expressions en plusieurs mots (par ex. "hotel" Vs "hotel pas cher à Nice").



En outre, les expressions en plusieurs mots permettent de générer un trafic plus qualifié, basé sur des requêtes plus ciblées et donc, d'optimiser le taux de transformation.



En terme de suivi, de tracking et d'optimisation, une agence désireuse d'apporter à ses clients un réel savoir-faire (après tout, n'importe qui doté d'une carte bancaire peut s'amuser à acheter des mots-clés) investit généralement dans un outil de bid-management, qui permet de gérer les enchères suivant une stratégie prédéfinie, d'optimiser les listes de mots-clés, de les catégoriser et de connaître (toujours à des fins d'optimisation) les mots-clés au meilleur potentiel de transformation, le niveau de ROI par catégorie, voire par mot-clé.



Certains purites diront que le référencement naturel (S.E.O. : Search Engine Optimisation) reste prioritaire et nécessaire, d'autres ne jurent que par le search marketing. Pour moi, l'approche est radicalement différente et à la pérennité de l'un s'oppose la flexibilité de l'autre...



Comme dans bien des domaines, il s'agit alors d'évaluer au mieux les besoins du clients et ses objectifs, explicites ou tacites, et de combiner les différents canaux d'acquisition et de notoriété afin d'être le plus efficace possible.







mardi, juin 19, 2007

Canderel surfe sur la vague Desperate Housewives

Petit buzz autour de Canderel, dont vous verriez la bannière, là, à droite, si un bug mystérieux n'en empêchait pas l'affichage.



Pour résumer, j'aime l'univers graphique très DH, le site est rigolo et les lots alléchants. Le jeu est un peu 'modeste'... rapide, certes, mais on s'attendrait à un jeu un peu plus abouti et pour ma part, je reste sur ma faim à ce niveau là.



Si vous souhaitez participer, c'est par là... Après tout, 100% des gagnants ont tenté leur chance :)



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samedi, mai 26, 2007

EDF Vs Poweo

EDF lance "lepouvoirdechoisiredf.com", en réplique à l'opération Powéo dont j'ai parlé il y a quelques semaines.

Pas tout à fait décalé, mais particulièrement bien réalisé, on sent bien que ces deux annonceurs s'adressent à deux cibles dissociées : d'un coté, avec Poweo, les jeunes, early adopters, ouverts au changement, déjà convaincus par les opérateurs alternatifs dans d'autres domaines et de l'autre, avec une campagne bien ficelée mais relativement sage, EDF et ses clients plus matures, plus sérieux, enclins à chercher la petite bête mais réticents au changement, et avec lesquels il faut retisser des liens forts avant qu'ils ne soient tentés par l'herbe plus verte du champ d'à coté.

Je l'avais prédit, la guerre aura lieu sur le net... mais les enjeux n'en sont finalement pas si dramatiques, ces deux acteurs se positionnant sur des cibles différentes, au final.

Peur de l'affrontement ou vrai choix stratégique ?



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jeudi, mai 24, 2007

Suggestions du 24 mai 2007



















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vendredi, mai 18, 2007

Une pub... sur la pub.

Forcément, en anglais, mais savoureux... SA-VOU-REUX :D



The Break Up

envoyé par geertdesager



Suggestions du 18 mai 1007

Vous êtes un jeune créateur ou professionnel des médias dans les domaines de l'écrit, de l'audiovisuel, de la musique et du numérique? Vous avez moins de 30 ans (moins de 35 ans pour les libraires) ?

Devenez lauréat des Bourses de Talent de la Fondation Jean-Luc Lagardère.



Google lance la recherche universelle, étendant ainsi la recherche à l'ensemble des contenus, images, video, cartes, vidéos, blogs et documents, y compris au sein de ses propres comptes (Gmail, iGoogle, etc...).



24/7 Real Media ne sera donc pas absorbé par Microsoft, puisque que c'est WPP Group qui déboursera 649 millions de dollars pour bénéficier des services de ce groupe de publicité en ligne.



















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dimanche, mai 13, 2007

Suggestions du 13 mai 2007

Je trouvais la météo du buzz un peu tristoune des derniers temps, mais les annonceurs et les agences ne renoncent pas au plaisir d'une campagne virale... Doc, ça buzze, à nouveau, pour mon plus grand plaisir.



  • L'affaire Twingo, avec Laetitia Casta en tête d'affiche.
  • Fallait pas partager, ou comment la location de voiture peut vous sauver d'amis pas commodes.
  • Je guide mon papa, dont la section "je fais un joli dessin pour mon papa" plait beaucoup à ma fille.
  • Enfin, Vousetnous.net, le contre-pouvoir du buzz puisque ce sont les blogueurs qui sont invités à exprimer leur ressenti face aux pratiques des agences de buzz pas toujours très en phase avec la blogosphère.






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vendredi, mai 11, 2007

On ne lave pas son linge en public !

Vu à la télé (vu, oui, parce que contrairement à la majeure partie des gens, je lève les yeux de mon ordinateur uniquement pendant les pages de pub) le spot pour une marque de lessive que je ne citerai pas, qui après le "oh, c'est doux, c'est neuf ?", a lancé le "oh, c'est rouge, c'est neuf ?"...

Et là, au beau milieu d'une soirée mondaine, une femme vêtue d'une robe rouge flamboyante sort de son sac à main... un paquet de lessive.

Nous absorbons ces publicité sans même relever l'improbabilité de la situation, tant nous sommes habitués à la médiocrité des pubs pour la lessive. Il faut dire que ça n'est pas nouveau (mis à part toutirikiki maxi machin).

Et il ne faut pas se leurrer, si ces marques investissent autant en télévision, c'est parce que ça marche, toutes les études le prouvent...

Du coup, j'ai fait un petit tour sur le web, à la recherche de campagnes plus innovantes pour ce secteur très particulier des lessiviers, quelques fabricants se cachant derrière une multitudes de marques.

Et il y en a, des sites et des campagnes, nettement plus originales que les pubs télé : Skip, et l'univers d'Unilever "Pour tout vous dire", Henkel, avec son Mir Degraiss'boy et so Chat bébé, et Procter & Gamble, et ses envies de plus, pour Dash.

Ce sont des campagnes efficaces, avec un message et des visuels pertinents, parfois décalés, diffusées sur des supports choisis avec précision.

Les sites développés par les marques se veulent informatifs, communautaires parfois, simples mais efficaces dans tous les cas. Et tous ont su allier la puissance du web à leurs techniques de merchandising traditionnelles, utilisant ce media comme un levier parmi d'autres, avec des coupons de réduction et des jeux concours tels qu'on les retrouve en marketing direct.

Y a pas à dire, le net, c'est mieux que la télé :)

Pour finir, je ne résiste pas à la tentation...




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mercredi, mai 09, 2007

Modèle économique 2.0

Lu chez Francis Pisani, le classement par le responsable technique du groupe Imaging & Printing de HP des différentes activités du web en 4 modèles économiques distincts :

  • La valorisation publicitaire : Google, Yahoo, MSN Live mais aussi les différents supports et carrefours d'audience dont le but est de créer du trafic quantitatif et/ou qualitatif selon la thématique et la qualité du contenu,
  • Les intermédiaires : site de type Ebay ou tout autre site de petites annonces, qui mettent en relation une offre et une demande et en tirent leur rémunération,
  • Les Saas (Software as a Service) : le coeur du web 2.0, les applications accessibles en ligne et qui se rémunèrent sous la forme d'abonnement (Flickr, Google Apps, etc...),
  • Le modèle des "octets aux objets", en gros, l'e-commerce.
C'est un classement qui me plait, et dans lequel je retrouve ma propre réflexion sur les différents modèles économiques... mais quand on y réfléchit, ils ne sont pas spécifiques au net.

La valorisation publicitaire, c'est le métier de TF1, de Voici, du Monde, de RTL et de tout autre support 'médiatique', les intermédiaires sont assimilables aux différents courtiers et autres vendeurs de biens, les Saas peuvent être assimilés aux société de services, que ce soit services à la personne ou services aux professionnels et le e-commerce, au commerce traditionnel.

Alors... le web est-il vraiment un modèle économique (ou 4 modèles économiques), ou simplement l'utilisation d'un média plus récent pour faire évoluer des modèles économiques traditionnels ?

J'ai du mal avec cette notion de nouveaux modèles. Pour moi, le net est un media, au sens premier du terme, un "moyen" économique qui permet de développer une activité, ou de la créer différemment, à partir d'un modèle économique existant.

La fin (gagner de l'argent) justifiant les moyens, on peut utiliser le net en complément ou comme unique moyen (pour les pure players), ce moyen pouvant être un moyen de promouvoir l'image, de vendre, de recruter, bref, un moyen d'exercer son activité.

Pour moi, ce sont donc les relations aux moyens qui changent, parce que les leviers du marketing online sont spécifiques, tant par leur technicité que par le profil des internautes (qui avouons le, restent un public "à part", même s'il commence à s'étendre à l'ensemble de la population) et pas les relations au modèle économique.

Peut-être parce que j'aime la simplicité et que j'ai du mal à comprendre ceux qui aiment à jouer avec les idées et les théoriser, mais pour moi, que ce soit sur le net ou dans une boutique, le modèle économique du "commerçant" restera toujours de vendre les produits que lui même a acheté chez un fournisseur.





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mercredi, mai 02, 2007

Après Google et Yahoo, Microsoft serait sur le point d'investir dans la pub

D'après le New York Post, Microsoft envisagerait le rachat de 24/7 Real Media.



Avec ses prestations de gestion et optimisation des campagnes, également sur les moteurs de recherche, et sa régie publicitaire en plein développement, 24/7 a été estimé à 600 millions de dollars en début d'année.



Bien sûr, ce ne sont que des rumeurs, relayées par Reuters, et quelques blogs américains, et rien ne permet d'affirmer que la transaction aura lieu. Mais après le rachat de Double Click par Google, et les investissement récents de Yahoo, tout laisse à croire que Microsoft va chercher à se positionner sur ce secteur... avec un train de retard.















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Lomo, ou quand la photo ratée ne l'est plus

La lomographie est un mouvement photographique issu de l'utilisation d'un appareil photo d'origine russe, le Lomo LC-A, dont la production a commencé en 1983 à Saint Petersbourg et s'est arrêté très rapidement.

Redécouvert par deux étudiants en marketing sur un marché aux puces à Prague qui en préssentent le potentiel, il est fabriqué à nouveau depuis 1991.

A la base, c'est un appareil photo compact (argentique) dont les photos sont de mauvaise qualité, avec un vignetage très prononcé (les bords de la photo sont plus sombres). Peu à peu, les lomographes saturent les couleurs et augmentent les contrastes lors du développement, conférerant à leurs photos un aspect très particulier.

C'est la naissance du mouvement artistique, dont les 10 règles sont (d'après la Lomographic Society) :

  1. Prends ton Lomo où que tu ailles (Take your Lomo everywhere you go)
  2. Utilise-le tout le temps - jour et nuit (Use it any time - day & night)
  3. La lomographie n'interfère pas avec ta vie, mais en fait partie (Lomography is not an interference in your life, but a part of it)
  4. Essaye de viser au niveau de la hanche (Try to shoot from the hip)
  5. Approche-toi au plus près des objets que tu veux lomographier (Approach the objects of your lomographic desire as close as possible)
  6. Ne pense pas (Don’t think)
  7. Sois rapide (Be fast)
  8. Tu n'as pas à savoir à l'avance ce que tu vas prendre en photo (You don’t have to know beforehand what you captured on film)
  9. Après coup non plus (Afterwards either)
  10. Moque toi des règles ! (Don’t worry about any rules)

Quand on y réfléchit, ce sont aussi les principes qui régissent l'utilisation d'un appareil photo numérique chez de nombreux photographe amateurs, la taille des appareils ayant largement diminué et la technologie permettant de prendre de nombreux clichés sans réfléchir au coût du développement...

Or, depuis l'avènement du numérique, et contrairement à ce que l'on pourrait croire, le phénomène n'a pas cessé de faire des adeptes. De nombreux autres modèles sont apparus, permettant différents effets photo, et certains photographes (dont je fais partie) reproduisent l'effet Lomo sur leurs clichés numériques.

On trouve d'ailleurs sur Flickr de nombreux groupes relatifs à l'utilisation d'un Lomo ou à la "lomographisation" de photos numériques et Dumpr offre un outil en ligne permettant de transformer immédiatement une photo stockée sur son disque dur ou sur Flickr en "lomo-like".


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Retrouvez moi sur mon nouveau blog

Bleekin, marketing web