Il y a des cibles plus difficiles à toucher que d'autres, lorsqu'on est publicitaire 'on line'.
Pour les ados et jeunes adultes, pas trop compliqués, ils pratiquent le surf "récréatif" et une fois que l'on a trouvé les différents supports qu'ils fréquentent, il suffit de mettre en ligne des bandeaux soit décalés, soit explicites, qui les incitent à poursuivre leur surf ailleurs en cliquant.
Toucher les actifs mûrs (40-50 ans) est déjà moins simple. Certes, leurs sites de prédilection sont identifiables, de façon plus ou moins évidente selon leurs centres d'intérêt, mais leur présence en ligne est moins longue, et généralement plus "utile", ils viennent chercher une information et une fois trouvée, passent à autre chose.
Le Directeur Général d'une banque, par exemple, s'il lit Le Monde, fréquent le site de La Tribune et jette un oeil régulièrement sur Boursorama, n'est pas forcément, à cet instant précis, disposé à cliquer sur une bannière qui lui vante les mérites d'un hôtel aux Maldives, même si pourtant, il est précisément dans la cible.
La publicité en ligne devient alors un simple vecteur de notoriété, et les visuels doivent être impactants et explicites, pour qu'au moment où cet homme sera en recherche d'une destination de vacances, il ait été exposé à la marque et la reconnaisse.
Et il n'y a rien de plus aléatoire que la mesure de ces facteurs d'exposition et de reconnaissance, bien connus des publicitaires traditionnels mais dénigrés par les spécialistes du web, qui ne jurent que par les sacro-saints retour sur investissement, mesure en temps réel et autres optimisations de campagnes.
Heureusement, il nous reste les emailings :D
Pour les ados et jeunes adultes, pas trop compliqués, ils pratiquent le surf "récréatif" et une fois que l'on a trouvé les différents supports qu'ils fréquentent, il suffit de mettre en ligne des bandeaux soit décalés, soit explicites, qui les incitent à poursuivre leur surf ailleurs en cliquant.
Toucher les actifs mûrs (40-50 ans) est déjà moins simple. Certes, leurs sites de prédilection sont identifiables, de façon plus ou moins évidente selon leurs centres d'intérêt, mais leur présence en ligne est moins longue, et généralement plus "utile", ils viennent chercher une information et une fois trouvée, passent à autre chose.
Le Directeur Général d'une banque, par exemple, s'il lit Le Monde, fréquent le site de La Tribune et jette un oeil régulièrement sur Boursorama, n'est pas forcément, à cet instant précis, disposé à cliquer sur une bannière qui lui vante les mérites d'un hôtel aux Maldives, même si pourtant, il est précisément dans la cible.
La publicité en ligne devient alors un simple vecteur de notoriété, et les visuels doivent être impactants et explicites, pour qu'au moment où cet homme sera en recherche d'une destination de vacances, il ait été exposé à la marque et la reconnaisse.
Et il n'y a rien de plus aléatoire que la mesure de ces facteurs d'exposition et de reconnaissance, bien connus des publicitaires traditionnels mais dénigrés par les spécialistes du web, qui ne jurent que par les sacro-saints retour sur investissement, mesure en temps réel et autres optimisations de campagnes.
Heureusement, il nous reste les emailings :D