Pour beaucoup d'entrepreneurs traditionnels, le web reste un eldorado dans lequel il est possible, avec peu de moyen, d'arriver à concurrencer d'autres acteurs avec lesquels ils n'auraient jamais pu se confronter dans l'économie traditionnelle.
S'ils n'ont pas tort sur le fait de la possibilité de se retrouver en frontal avec de grandes marques, ils n'ont pas la moindre idée des trésors d'imagination qu'il faudra déployer, de l'énergie qu'il faudra investir et des montants qu'ils devront allouer sur le média pour espérer survivre, voire fructifier (sans même imaginer concurrencer les acteurs bien en place, à moins d'avoir un budget équivalent).
En effet, lors de l'ouverture d'une boutique au coin de la rue, on évalue la clientèle du quartier, les autres magasins qui fournissent des produits ou services équivalents dans un périmètre défini et pour peu qu'on ait un produit intéressant à un prix raisonnable, les chalands peuvent devenir des clients. Si la vendeuse est souriante et que le produit est disponible en rayon, on peut même imaginer les voir revenir sans avoir besoin de leur adresser un courrier.
Sur le web, si la même petite boutique peut techniquement vendre son produit à l'autre bout du monde, elle subit la pression concurrentielle de l'ensemble des acteurs de son marché présents en ligne. Les petits comme elle, mais surtout les grands, avec des gros budgets, des agences de comm' spécialisées et des consultants aux dents longues rompus aux techniques de communication multicanaux.
Et se retrouver sans budget comm' conséquent quand on décide de lancer une petite gamme de vêtements pour enfants, c'est oublier La Redoute et ses investissements non négligeables... Une chambre d'hôte, alors ? Oups, j'oubliais, ce sont les voyagistes, tours opérateurs et autres chaînes hotelières prestigieuses que l'on vient taquiner sur leur marché. Un produit de beauté ? Loupé, Sephora et consorts n'ont pas laissé passer le train de la vente en ligne.
Pour ceux qui sont prêts à investir dans ce canal très particulier de distribution, nombreux sont les écueils à éviter. Une logistique sans faille, un service après-vente irréprochable, une vraie stratégie de fidélisation, sans oublier un site qui réponde aux attentes des internautes, en terme d'ergonomie, de fonctionnalités, de design... et une vraie stratégie de communication.
Une VRAIE. Pas le lancement d'un blog maintenu par... par qui déjà ? Ni des bandeaux home-made diffusés sur des réseaux de site pas très glorieux (mais pas cher, certes).
Une vraie stratégie qui permettra à chaque action marketing de préparer la suivante, d'en récolter les fruits et les enseignements. Un plan de communication qui prenne en compte les différents canaux de communication, la saisonnalité, les investissements des concurrents et leur activité, les besoins spécifiques de chaque phase du développement en terme de notoriété, d'image, de génération de trafic, de retour sur investissement.
Parce que si l'à peu près peut fonctionner dans le cadre d'un commerce de quartier, il est bien plus difficile de se faire une place en ligne sans une vision claire et précise de son marché, de ses possibilités d'évolution, de ses faiblesses et des finesses du média.
A ceux de mes clients que j'arrive à convaincre de cette nécessité, je peux apporter la vision qui leur manque, en terme de connaissance du média, de vision stratégique, de mise en oeuvre opérationnelle.
Et il n'y a rien de plus gratifiant que de prendre un projet dans sa phase de lancement, d'accompagner un annonceur dans son évolution, sa maturation sur le média, jusqu'à voir retomber les fruits de son travail.
Ah, si, il y a plus gratifiant... Quand le client vous en reconnaît le bénéfice :)
S'ils n'ont pas tort sur le fait de la possibilité de se retrouver en frontal avec de grandes marques, ils n'ont pas la moindre idée des trésors d'imagination qu'il faudra déployer, de l'énergie qu'il faudra investir et des montants qu'ils devront allouer sur le média pour espérer survivre, voire fructifier (sans même imaginer concurrencer les acteurs bien en place, à moins d'avoir un budget équivalent).
En effet, lors de l'ouverture d'une boutique au coin de la rue, on évalue la clientèle du quartier, les autres magasins qui fournissent des produits ou services équivalents dans un périmètre défini et pour peu qu'on ait un produit intéressant à un prix raisonnable, les chalands peuvent devenir des clients. Si la vendeuse est souriante et que le produit est disponible en rayon, on peut même imaginer les voir revenir sans avoir besoin de leur adresser un courrier.
Sur le web, si la même petite boutique peut techniquement vendre son produit à l'autre bout du monde, elle subit la pression concurrentielle de l'ensemble des acteurs de son marché présents en ligne. Les petits comme elle, mais surtout les grands, avec des gros budgets, des agences de comm' spécialisées et des consultants aux dents longues rompus aux techniques de communication multicanaux.
Et se retrouver sans budget comm' conséquent quand on décide de lancer une petite gamme de vêtements pour enfants, c'est oublier La Redoute et ses investissements non négligeables... Une chambre d'hôte, alors ? Oups, j'oubliais, ce sont les voyagistes, tours opérateurs et autres chaînes hotelières prestigieuses que l'on vient taquiner sur leur marché. Un produit de beauté ? Loupé, Sephora et consorts n'ont pas laissé passer le train de la vente en ligne.
Pour ceux qui sont prêts à investir dans ce canal très particulier de distribution, nombreux sont les écueils à éviter. Une logistique sans faille, un service après-vente irréprochable, une vraie stratégie de fidélisation, sans oublier un site qui réponde aux attentes des internautes, en terme d'ergonomie, de fonctionnalités, de design... et une vraie stratégie de communication.
Une VRAIE. Pas le lancement d'un blog maintenu par... par qui déjà ? Ni des bandeaux home-made diffusés sur des réseaux de site pas très glorieux (mais pas cher, certes).
Une vraie stratégie qui permettra à chaque action marketing de préparer la suivante, d'en récolter les fruits et les enseignements. Un plan de communication qui prenne en compte les différents canaux de communication, la saisonnalité, les investissements des concurrents et leur activité, les besoins spécifiques de chaque phase du développement en terme de notoriété, d'image, de génération de trafic, de retour sur investissement.
Parce que si l'à peu près peut fonctionner dans le cadre d'un commerce de quartier, il est bien plus difficile de se faire une place en ligne sans une vision claire et précise de son marché, de ses possibilités d'évolution, de ses faiblesses et des finesses du média.
A ceux de mes clients que j'arrive à convaincre de cette nécessité, je peux apporter la vision qui leur manque, en terme de connaissance du média, de vision stratégique, de mise en oeuvre opérationnelle.
Et il n'y a rien de plus gratifiant que de prendre un projet dans sa phase de lancement, d'accompagner un annonceur dans son évolution, sa maturation sur le média, jusqu'à voir retomber les fruits de son travail.
Ah, si, il y a plus gratifiant... Quand le client vous en reconnaît le bénéfice :)