Le Figaro publie un article intéressant sur les nouveaux formats publicitaires sur Internet et leurs enjeux.
Avec l'apparition des mondes virtuels et des blogs, la mode est à l'intégration dans Habbo et Second LIfe, ainsi qu'au Podcasts, vidéo et autres formats rich-media à fort potentiel de viralité.
En gros, l'essence du buzz marketing. Sauf qu'ils oublient de parler de l'investissement parallèle en communication "classique", bannière et autres pavés qui fleurissent sur les carrefour d'audience.
Parce que si le buzz marketing est une mécanique qui peut fonctionner en "stand-alone" pour des produits en vogue auprès des internautes (jeux vidéo et geekeries en tout genre), il ne saurait apporter à un annonceur grand public la couverture nécessaire sur sa cible.
Et quoi qu'on en dise, ce n'est pas la réalisation des vidéos ou autres visuels nécessaires à la mécanique de buzz, ni la sollicitation de la blogosphère, qui représentent l'investissement le plus important, mais les campagnes média associées qui permettent de faire "tourner le buzz" auprès de la cible, via des formats impactants (pavé vidéo, formats spécifiques rich média, intersticiels) qui représentent une part importante de l'investissement.
C'est sans doute la chose la plus compliquée à faire entendre à un annonceur... Le buzz-marketing est à la mode, mais n'offre la couverture nécessaire que s'il s'intègre à une mécanique globale de communication, une mécanique multi-canal, comprennant du search marketing, de l'affiliation et de l'achat d'espace classique.
Et cette mécanique à un coût non négligeable...
Avec l'apparition des mondes virtuels et des blogs, la mode est à l'intégration dans Habbo et Second LIfe, ainsi qu'au Podcasts, vidéo et autres formats rich-media à fort potentiel de viralité.
En gros, l'essence du buzz marketing. Sauf qu'ils oublient de parler de l'investissement parallèle en communication "classique", bannière et autres pavés qui fleurissent sur les carrefour d'audience.
Parce que si le buzz marketing est une mécanique qui peut fonctionner en "stand-alone" pour des produits en vogue auprès des internautes (jeux vidéo et geekeries en tout genre), il ne saurait apporter à un annonceur grand public la couverture nécessaire sur sa cible.
Et quoi qu'on en dise, ce n'est pas la réalisation des vidéos ou autres visuels nécessaires à la mécanique de buzz, ni la sollicitation de la blogosphère, qui représentent l'investissement le plus important, mais les campagnes média associées qui permettent de faire "tourner le buzz" auprès de la cible, via des formats impactants (pavé vidéo, formats spécifiques rich média, intersticiels) qui représentent une part importante de l'investissement.
C'est sans doute la chose la plus compliquée à faire entendre à un annonceur... Le buzz-marketing est à la mode, mais n'offre la couverture nécessaire que s'il s'intègre à une mécanique globale de communication, une mécanique multi-canal, comprennant du search marketing, de l'affiliation et de l'achat d'espace classique.
Et cette mécanique à un coût non négligeable...
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