samedi, novembre 29, 2008

Changement de crémerie !

J'ai décidé de passer à Wordpress. Pour tout un tas de raison liées à la personnalisation et à la gestion de mon blog, et surtout pour avoir une interface graphique plus jolie que les templates blogger.

Du coup, si vous êtiez abonnés, il va falloir re-souscrire à mon flux rss ou bookmarker ma nouvelle adresse :)

J'ai importé l'ensemble des notes présentes sur ce blog, il ne me reste plus qu'à en écrire de nouvelles :)

jeudi, novembre 13, 2008

Votez utile :)



Parce que je suis totalement subjective...

samedi, novembre 01, 2008

D'un coup de gueule avorté

Cette semaine, j'ai failli m'indigner. Dans la triste affaire de l'assassinat d'une adolescente, j'ai vu fleurir, en sous-titre des journaux télés : "Priscillia, la piste d'internet privilégiée".

Et de m'indigner, une fois de plus, face à la diabolisation du net, présenté souvent comme un repère de pédophiles (dont on sait très bien qu'ils n'existaient pas avant l'apparition du web, n'est ce pas ?), un bouge infame où l'on se fait pirater sa carte bleue juste en effleurant son clavier, un nid d'escrocs en tous genres...

Et puis "la piste d'internet privilégiée"... Auraient-ils dit, ces mêmes journalistes "la piste du téléphone privilégiée" ? Internet, ce sont les mails, les sites, les messageries instantanée, les forums, les blogs, les vidéos, les transferts de fichier en FTP ou en peer-to-peer, les réseaux à distance...  Cette affirmation n'avait donc rien de grammaticalement correct.

Autant "la piste familiale" aurait indiqué une information pertinente, autant "Internet" posé là par hasard n'avait rien de pertinent, tout juste un relent de polémique malsaine.

Au final, c'est un ami qui a assassiné cette adolescente... Et mon indignation s'est envolée, mais pas la tristesse qu'éveille bien souvent en moi la lecture des journaux.




jeudi, octobre 09, 2008

Alain Souchon surfe sur la vague 'récession'

Alain Souchon n'est pas un novice, sur le web. Après son premier site, brillamment designé par son fils, le voilà qui se lance dans le buzz marketing.

Une chanson inédite, intitulé "Parachute Doré", qui traite de la crise et de ses conséquences avec l'indolence toute souchonnienne, est disponible en téléchargement gratuit, avant la sortie de l'album le 1er décembre.

Seule condition, s'inscrire à la newsletter de l'artiste. Et apparemment, pas de vice caché, puisque figure bien la mention CNIL obligatoire et l'engagement à ne pas utiliser l'adresse email à d'autres fins que l'envoi de la newsletter.

Pour en savoir plus, c'est par là : http://www.alainsouchon.net/

mercredi, octobre 08, 2008

De la catégorisation CSP et de ses implications

Ou comment le niveau CSP influence le comportement des internautes et l'acte d'achat.

La catégorie socio-professionnelle est le critère qui permet de définir une frange de la population en fonction de son niveau de revenus. Mais pas seulement.

Les régies et éditeurs de sites web vendent ainsi leur audience en la segmentant. 30% de CSP-, 45% de CSP moyen, 25% de CSP+... et pareil avec l'age : 18% de moins de 25 ans, 58% de 25-49 ans...

Comme la télé, les sites et les régies vendent du temps cerveau disponible et sont capables de vendre le temps cerveau disponible pile dans la cible d'un annonceur :) Mais que se cache-t-il derrière ces acronymes barbares ?

CSP-, CSP moyen, CSP+ et CSP++, 4 catégories socio-professionnelles qui englobent l'ensemble de la population française, des plus petits revenus aux plus hauts. Mais pas seulement.

Parce que dans la publicité, en plus d'être complètement faux jetons et perturbés de l'ego, nous sommes "racistes". Entendons là que nous faisons des généralités autour de ces quatre catégories, en leur attribuant des comportements uniquement basé sur l'évaluation de leur revenu annuel.

Par exemple, un CSP- sera étudiant, chomeur ou retraité à faible revenu, adepte des crédits à la consommation, fera ses courses dans des supermarchés discount, et regardera des émissions pas particulièrement intellectuelles.

A l'opposé, le CSP++ gagne bien sa vie, a une femme de ménage, est un familier des superettes haut de gamme, est sensible au luxe et aux marques qui le représentent, s'intéresse au golf, au tennis, à la voile, utilise des produits d'entretien plus chers mais plus écologiques, etc, etc, etc...

Sauf que... c'est pas toujours vrai. Que parfois, la catégorie socio-professionnelle d'un individu n'est pas determinée par son revenu mais par le niveau socio-professionnel où il se situe mentalement. Que souvent, on est étonné de découvrir des CSP+ cachés dans l'audience d'émissions de télé plutôt débiles stupides, ou des CSP- dans les enquêtes de satisfaction de marques réputées haut de gamme.

Et ces 4 catégories sont elles-mêmes segmentables en de nombreuses sous-catégories, autant de niches pour les annonceurs. Les Bobo, les urbains, les early adopters, ...

Je ne dénonce pas ce racisme publicitaire primaire. Je le pratique, je le pratiquais bien avant de savoir ce qu'est le marketing, sans discrémination, mais simplement en classant les gens dans des cases et en déduisant le comportement induit par leur origine, leur revenu, leur entourage, leur profession.

Et je le pratique tout autant sur ma petite personne, régulièrement, quand je souris mentalement en sortant de mon placard un sac Brabantia pour ma poubelle du même nom, en pensant "Espèce de CSP+, va !"...

Ce sont des généralisations nécessaires à la mise en place de campagnes de communication les plus pertinentes possibles. Sauf que parfois, il faut faire fi de ces a priori et savoir remettre en question ces dogmes longuement étudiés et assimilés, pour répondre 'autrement' à des problématiques d'annonceurs, tout en restant pertinent.

Vraiment, j'adore mon boulot... :)

lundi, octobre 06, 2008

De l'importance de l'évangélisation

Les métiers du web sont nombreux et difficile à appréhender pour le grand public. Un développeur et un référenceur sont souvent réputés comme "travaillant dans l'informatique" par leurs proches, et le marketing online ne fait pas exception à la règle du métier incompréhensible.

Il faut avouer que les professionnels eux-mêmes semblent avoir du mal à qualifier leur métier et définir les limites de leurs interventions. On voit fleurir de nombreuses agences auto-proclamées "conseil en e-marketing" dont les prestations se limitent au référencement, ou "spécialistes en webmarketing" essentiellement spécialisées en email-marketing... Quant aux agences globales, ou intégrées, ou 360°, elles cumulent généralement des compétences très généralistes, trop généralistes pour obtenir le meilleur de chaque levier de la communication online.

Et au sein des annonceurs, c'est la méconnaissance la plus totale... Entre les annonceurs qui ne disposent pas d'un véritable directeur marketing et dont le responsable commercial se voit confiée la responsabilité de la communication globale et les institutionnels où les postes sont créés et recréés en fonction des mouvements internes, les agences sont souvent confrontées à des interlocuteurs qui n'ont aucune idée des principes de leur métier.

C'est la bonne aubaine pour les plus acharnés commercialement, qui vendraient leur mère pour décrocher un budget, et qui vendent à ces annonceurs des prestations pas forcément des plus pertinentes, des dispositifs parfois hors de prix, des campagnes souvent démesurées ou mal ciblées.

Pour ceux qui veulent pratiquer leur vrai rôle de conseil, c'est une opportunité de faire entendre la voix de la raison, d'informer, de former, d'évangéliser, en somme, pour que les annonceurs sachent enfin interroger les agences, en comparer les expertises et les propositions commerciales, et faire leur choix en toute connaissance de cause.

Sauf que prendre son bâton de pélerin et proposer à ses clients et prospects ce type de formation, même gratuite, est loin d'être une tâche aisée et trop souvent assimilé à du harcèlement commercial.

A quand une vraie formation au e-marketing dans les écoles sup' de co' ???



lundi, septembre 29, 2008

De la nécessité de s'organiser et des outils en ligne qui peuvent y concourir

J'ai découvert un nouvel outil en ligne, qui m'aide à gérer l'ensemble de mes projets, de mes tâches, de mes priorités. Un outil basé sur la méthode "Getting things done", dont j'avais déjà parlé par ailleurs.

Parce que clairement, je n'ai pas en cerveau extensible et ma vie, elle, ne cesse de prendre de l'ampleur, mon champ d'action de s'étendre, et mon Moleskine a beau m'être très utile, il ne me permet pas de catégoriser mes tâches par projet, de les planifier par date, et ne sonne pas non plus pour me rappeler une échéance.

Bien entendu, c'est un outil qui vient s'ajouter à l'excellent Mindmeister, que j'utilise également dans mes processus de réflexion.

Pour en savoir plus : www.gtdagenda.com

vendredi, septembre 19, 2008

Sergey Brin blogue aussi...

Bien sur, ce sera en anglais, et pour l'instant, l'unique billet traite de ses craintes face à la maladie de Parkinson (je vous laisse prendre connaissance de l'article, ici).

Les paris sont ouverts... Sergey Brin s'inscrira t'il dans la durée, comme l'ont fait d'autres "pro" célèbres, ou ce blog sombrera t'il dans l'oubli après quelques billets ?


mercredi, septembre 17, 2008

Facebook et la résistance au changement

Facebook a changé de look, dernièrement. Une nouvelle interface, plus aérée, plus claire, moins fouillie et qui permet d'aller directement à l'essentiel quand, comme moi, on s'intéresse un peu à la vie de ses proches et moins proches ou qu'on l'utilise à des fins professionnelle.

Et Facebook annonce 60% de taux d'acceptation... Ce qui les satisfait, globalement, sachant que les 40% qui restent ne sont pas forcément les usagers les plus intensifs (à ce sujet, d'ailleurs, NON, Facebook ne va pas détruire les comptes des utilisateurs qui n'auront pas forwardé LE mail reçu sur la messagerie)...

Bref, 60%, c'est bien, mais cela signifie qu'il reste 40% de mécontents, ce qui ramené à l'audience globale du site implique quand même quelques centaines de milliers d'utilisateurs pestant contre ce changement d'interface.

Et c'est un phénomène fréquent, que ce soit dans le cadre professionnel ou privé, de voir des personnes peu ou prou concernées s'indigner de changements qui, généralement, sont destinés à améliorer les process.

Au niveau du net, les nouvelles fonctionnalités sont généralement accueillies avec moult bravos, et de nombreux utilisateurs font connaître leur joie. Certains réagissent façon "Oui, mais..." et suggèrent des améliorations notables, tous se sentent impliqués.

Jusqu'au jour où la machine devient trop grosse, que les améliorations portées ça et là ne s'imbriquent plus dans une stratégie globale, jusqu'à la refonte, qui permet généralement à un site non seulement de satisfaire le plus grand nombre (en l'occurence, plus de 60%) mais d'intéresser de nouveaux utilisateurs en facilitant l'ergonomie qu'ils jugeaient jusque là obscure.

Alors oui, 60% de satisfait, 40% de mécontents dont au final seul quelques uns quitteront Facebook, mais combien de nouveaux utilisateurs attirés par ce battage médiatique et séduits pas la simplicité de la nouvelle interface ? ;)

Ne l'oublions pas, quel que soit le service fourni, quelle que soit l'intention de départ, les services gratuits en ligne ne sont pas là pour nous satisfaire et obéir à nos caprices, et si affectif soit le rapport avec les utilisateurs, ce sont des outils destinés à produire du chiffre d'affaire...

dimanche, septembre 14, 2008

Un nouveau Deezer ?

Avant de devenir Mr Pull, Jean-Paul était un homme comme les autres, un Jean-Paul parmi tous les Jean Paul.
Il portait son pull ailleurs que sur la tête.
Il voyait la vie autrement qu’à travers les mailles de son pull : il voyait la vie autrement tout court!
Jusqu’au jour où… Jean-Paul est devenu Mr Pull.

Jean-Paul n'utilisait pas Musiline : http://www.musiline.fr/.


Mr Pull n'utilisait pas Musiline
envoyé par clybon

C'est ainsi que le groupe Lagardère Active a décidé de promouvoir son service d'écoute de flux musicaux, à la manière de Deezer.

Playlists thématiques, moteur de recherche puissant et critères de sélection très avancés, on ne peut qu'aimer les fonctionnalités du site, à l'aspect un chouia trop dépouillé. Pas encore suffisamment accro pour lâcher les play-lists superbes découvertes sur Deezer, j'ai néanmoins apprécié les possibilités offertes par le site lorsque je l'ai testé.

Le couac ? La pub. Et oui, forcément, le groupe Lagardère, régie avant tout, n'a pas pu s'empêcher de commercialiser ses espaces publicitaires, et a fortiori les espaces publicitaires sonores. Résultat, des publicités viennent s'incruster dans vos tympans pendant l'écoute de vos morceaux préférés et ça, pour moi, c'est tout bonnement rédhibitoire...

Les enjeux de la musique en ligne sont énormes, les droits liés à la diffusion aussi :) Et ce sont de nouveaux modèles auxquels s'essaient éditeurs et producteurs, artistes et maisons de disque, des modèles qui bouleverseront les habitudes d'accès à la musique des générations à venir.

Je ne suis pas persuadée que le modèle choisi par Lagardère soit le bon, mais dans tous les cas, il y a fort à parier que, n'ayant jamais connu autre chose que le CD et les lecteurs MP3, ma fille n'achète jamais plus une 'galette' à l'âge adulte, le support physique n'étant, et ce déjà aujourd'hui, qu'une contrainte de plus en matière de stockage et de partage.


mercredi, septembre 10, 2008

D'une résolution de rentrée

Une résolution professionnelle, s'entend. Faute de temps, j'ai laissé tomber ma veille systématique. Non pas que j'aie laissé tomber la lecture de quelques blogs et journaux spécialisés, mais je me suis cantonnée à l'essentiel, aux thématiques utiles dans le cadre de mon boulot de tous les jours, proche des préoccupations de mes clients d'aujourd'hui.

Sauf que c'est devenu de la recherche documentaire, plus que de la veille technologique et que, bien que ce soit très confortable,cela ne présente pas un grand intérêt pour mon cerveau en constante recherche de nouveaux concepts.

J'ai donc repris, modestement, mon abonnement Google Reader à mes flux préférés, après avoir fait le vide pour me consacrer à l'essentiel. Et d'ici quelques jours, je recommencerai à écrire, sur mon blog pro,autour des thémathiques qui me sont chères.

D'autant que j'ai reçu une proposition professionnelle très décente qui pourrait, si je correspond aux attentes de l'école en question, me mettre l'habit d'enseignante sur le dos pendant quelques semaines cet hiver... et que j'ai bien besoin de remettre ma matière grise en mode "apprentissage".

mercredi, juin 18, 2008

Sans parole



D'une révolution nommée POGO


Ok, j'avoue, le mot révolution est un peu fort, et l'info circulaie depuis un petit moment, mais ça y est, Polaroïd annonce, pour juillet, la sortie de sa toute nouvelle imprimante photo portable.

Fonctionnant sur batteries, sans connexion à un ordinateur et surtout de dimensions réduite, la Pogo permettra d'imprimer des photos de 5 x 7 cm en moins d'une minute... sur du papier autocollant qui plus est !

L'impression, réalisée sans encre grâce à un papier spécial, semble de relative bonne qualité et le concept du bon vieux pola reprend ici toute sa vigueur.

Commercialisée autour des 130 euros, et avec un coût d'environ 30 centimes par photo, Pogo semble ouvrir de nouvelles perspectives, à l'ère de la multiplication des photographes numériques.

Pour en savoir plus : http://www.polaroid.com/pogo/fr/

mardi, juin 03, 2008

Comment le web change le monde

C'est une question à laquelle j'espère trouver la réponse en lisant le livre du même nom, au sous-titre poétique "L'alchimie des multitudes", écrit par Francis Pisani et Dominique Piotet.

J'ai eu le plaisir d'être sélectionnée pour recevoir gratuitement un exemplaire, et je ronge mon frein, tentant d'en lire quelques pages dès que j'ai quelques minutes de libre, ce qui n'arrive pas souvent en ce moment.

Dans la même lignée, je voudrais terminer "Du bon usage de la manipulation", reçu il y a quelques mois mais dont je n'ai réussi à lire que le prologue, tant le temps me manque.

Les trois derniers numéros de Stratégies attendent également que je m'y penche, ainsi qu'une étude très intéressante sur le e-commerce, reçue il y a plus d'une semaine.

Fort heureusement, j'arrive à garder un oeil sur l'actualité du e-marketing grâce aux nombreux (et excellents) blogs qui sont devenus mes lectures de référence et auxquels j'essaie d'accorder une bonne demie-heure tous les jours.

Blogguer est devenu un luxe que je ne me permets guère, hélas, et ce n'est pas faute d'envie, il se passe en ce moment pas mal de choses pour lesquelles j'aimerais avoir le loisir d'écrire un article.

Un jour, peut être...

lundi, avril 28, 2008

Granola buzze

Le site, réalisé par Duke, est une petite merveille de technologie et de design.

Vidéos, style décalé, module de viralité, implication des internautes, et même pub sur Facebook et campagne de liens sponsorisés pour capter l'internaute, tout y est.

Sur la forme et sur le fond, c'est une réussite. Même si je continue de penser que le formatage du buzz, originellement naturel, et l'utilisation de leviers toujours identiques finit par ôter tout son intérêt à ces dispositifs.

Pour juger par vous-mêmes : http://www.granola.fr


jeudi, avril 10, 2008

De prévisions qui me laissent sceptique

Entendu ce matin, à propos du grand charivari Yahoo-Microsoft : "L'avenir est à l'internet mobile". Le journaliste cite les analystes, évoque les 3 milliards de téléphones mobiles dans le monde, contre 'seulement' quelques centaines de millions d'ordinateurs.

J'ai du mal à adhérer. Je me trompe surement, je ne suis qu'une petite provinciale blonde qui se fait ses propres idées, une observatrice à l'aire de jeu pas bien étendue. Mais il me semble que l'avenir est à la convergence.

Le WAP, lorsqu'il est apparu, semblait être la révolution... A présent, il est clair que la technologie permet d'utiliser de façon acceptable un téléphone pour surfer sur le web, à condition que les sites aient été optimisés, et il est relativement facile d'accéder à des services de base (recherche d'itinéraire, chat, mail,...).

Mais c'est sans compter sur la miniaturisation des PC portables et les cartes GPRS qui permettent de se connecter à partir du réseau de téléphonie mobile.

Pour moi, certes, l'avenir est à l'internet mobile, mais pas à l'internet sur téléphone mobile. Internet partout, tout le temps, grace à des spots wifi ouverts, des cartes GPRS, et accessible depuis un ordinateur, un téléphone, voire un frigo, ça me semble évident. Mais je n'imagine pas que les trois milliards d'usagers du seul téléphone mobile se mettent à utiliser le net de manière intensive sur leur tout petit téléphone, à moins d'y être déjà initié par l'usage d'un ordinateur.

Mais comme je le disais plus haut, je me trompe sans doute. Rendez-vous dans 20 ans :)

lundi, mars 31, 2008

J'aime pas Olivier Martinez, non plus !

Je n'ai pas pris la plume plus tôt pour en parler, parce que ça me paraissait tellement énorme que ça ne pouvait pas arriver.

Et c'est arrivé. Et ça remet en cause mes certitudes quant à une justice lucide et au fait des implications technologiques.

J'ai donc rejoint le mouvement, et décidément, non, je n'aime pas ... euh... comment s'appelle t'il, déjà ?


mardi, mars 25, 2008

samedi, mars 08, 2008

De la gestion de l'identité numérique










Dans 5 mois, je serai mariée. Youpi :)

Et voici que se pose à moi le problème du changement de nom.

Ce n'est pas un problème insurmontable, il a toujours été évident pour moi que je porterai le nom du père de mes enfants, premier signe d'appartenance à une famille, à une lignée... Mais comment gérer ce changement dans le cadre de mon identité numérique ?

Bien que petite blogueuse anodine, je n'en suis pas moins très bien référencée, et ce sur l'ensemble de mes productions en ligne, photos, textes, interventions bloguesques ainsi que sur de nombreux réseaux sociaux et annuaires professionnels.

Le fait d'occuper le terrain est nécessaire, quand on exerce comme moi un métier censé procurer visibilité et notoriété à ceux qui font appel à mes services, en gage d'expertise. Sauf que là, je ne sais pas du tout comment je vais pouvoir gérer mon changement de nom sans perdre tout le bénéfice de ce référencement naturel.

Un cas d'école, il me reste 5 mois pour optimiser ma présence en ligne et gérer ce transfert... :)

lundi, février 25, 2008

D'un buzz à retardement





Voila un concours qui va faire buzzer !
L'EBG met à disposition 50 pages de son petit Livre Rouge du Marketing Interactif et organise un jeu concours avec 100 livres à gagner...

Pour ceux qui ne connaissent pas le concept du Petit Livre Rouge du Marketing Interactif, il s'agit d'un ouvrage destiné à tous les passionnées d'innovation et de publicité.
Il décrit près de 70 campagnes de communication innovantes, et laisse aux experts du marketing interactif la parole sur les nouvelles tendances à venir !

La dernière édition "Internet Marketing" décrit les opérations de communication les plus innovantes : bouche à oreille exponentiel autour du démarrage de France 24, lancement sur Second Life du dernier parfum de Jean Paul Gaultier, mise en place du site e-commerce de L’Avion, diffusion par British Airways de vidéos virales sur mobile, création d’une plate-forme communautaire Playstation… 70 exemples de ce types sont présentés dans l’ouvrage avec pédagogie, précision et objectivité.

Pour le concours, c'est par là que ça se passe !

mardi, février 12, 2008

D'une opposition caractéristique

... et diablement caricaturale, mais vraie.

J'ai travaillé dans de nombreuses entreprises où l'aspect technologique prévalait. Editeurs de logiciels ou de sites, sociétés de services informatiques, fournisseurs d'accès, autant d'entreprises dont le coeur de métier était technique.

Et à chaque fois, dans chacune de ces entreprises, de manière plus ou moins marquée, l'opposition entre les techniciens et les commerciaux était tangible, symptomatique d'une différence de point de vue.

Il est relativement simple de comprendre à quel point les angles de vue peuvent être différents...

D'un coté, les techniciens, à qui on pose une problématique de qualité et de planification de la production, s'attachent à travailler dans les meilleures conditions afin de pouvoir garantir leurs délais de réalisation et de satisfaire le client tout en restant dans les limites technologiques imposées par leurs compétences et leur outil.

De l'autre, les commerciaux, à qui on fixe des objectifs de chiffre d'affaires à réaliser, emplis d'une culture de satisfaction client débordante et n'ayant forcément pas les compétences d'une technicien quant aux limites du produit vendu.

Au milieu du champ de bataille, le marketing. Chargé de définir avec
précision les caractéristiques produit ou service, et donc d'auditer
avec précision les technologies employées, leurs avantages pour le
client, pour mieux le restituer à des équipes de commerciaux avides
d'informations qui leur permettent de convaincre le client.

Un point d'observation privilégié des drames qui se nouent parfois autour de la machine à café, dont on sent les frémissements pendant certaines réunions et qui explosent souvent lorsque se présente un cas client plus sensible, plus complexe.

Je le constate encore, depuis mon poste pourtant externalisé, chez certains clients, entre les personnes en charge de la communication qui s'adressent à nous et leurs équipes techniques. Et il n'y a malheureusement pas de solution miracle, il faut, à chaque fois, négocier, s'attacher à respecter la sensiblité de chacun et compter sur l'intelligence et le professionnalisme des différents intervenants.

Parce qu'au final, ce qui compte, c'est la satisfaction client, et c'est une évidence qui met tout le monde d'accord.


vendredi, février 01, 2008

D'une exigence professionnelle insatisfaite

Je me suis rendue, mardi et mercredi, au 2ème Forum E-marketing, à Paris. J'ai pris l'avion, j'ai dormi à l'hôtel, j'ai galéré dans les transports, pour me rendre sur ce qui est l'un des rendez-vous importants des "professionnels de la professions".

J'ai fait rapidement le tour des stands, saluant ci et là quelques connaissances, amis, partenaires, m'intéressant à quelques rares nouveaux concepts. Et puis j'ai pris place dans une des salles pour écouter une conférence. Pas tout à fait satisfaite ni du sujet ni de l'orateur, j'ai quitté la salle pour me rendre à une deuxième conférence, que j'ai trouvé toute aussi superficielle.

Au final, en 3 demies-journées passées au Palais des Congrès, je n'ai pas appris grand-chose et je suis déçue du niveau des conférences. Non pas que les orateurs ne maitrisent pas leur sujet, mais sur un salon prétenduement professionnel, je me serais attendue à des explications plus poussées, plus techniques, or j'ai l'impression que sur le fameux concept "benefits/features" qui est censé régner en maître dans les présentations de produits ou techniques, les orateurs n'ont pensé qu'à la partie "avantages produit".

"Le ciblage comportemental, c'est bien". Jusque là, je suis d'accord...

"Le ciblage comportemental permet d'adresser aux internautes le message qui leur correspond et augmente ainsi le taux de clic de façon non-négligeable". Ok, ça, j'avais compris...

Et comment tu fais, Monsieur, pour mettre en place tes campagnes ciblées ? Tu utilises quels outils ?

Par souci de "vendre" leur produit ou leur savoir-faire, les orateurs présents ont oublié qu'il ne s'agissait pas de convaincre l'auditoire de leur expertise mais de permettre aux participants de mieux appréhender les différents leviers du marketing online, de la réflexion stratégique à la mise en oeuvre opérationnelle.

Et si je peux comprendre qu'on aille pas jusqu'à expliciter les techniques employées dans le détail par souci de simplicité (et par peur de se faire faucher une expertise), j'aurais apprécié un discours plus professionnel, parce que certes, un rappel sur les différents modèles économiques de la publicité online n'était pas inutile mais de là à s'en contenter...

Bref, je continuerai à suivre ces évènements parce qu'ils sont un lien important avec les différents prestataires susceptibles de contribuer à la réussite des campagnes de mes clients mais je reste convaincue, plus que jamais, qu'une veille permanente et l'expérimentation sont nécessaires à l'appréhension des nouveautés qui fleurissent dans mon domaine d'activité.

Ca tombe bien, j'adoooore mettre les mains dans le cambouis :)







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Bleekin, marketing web